lundi 26 octobre 2009
Toutes rouges ou presque...
Voici des photos toutes rouges ou presque, comme quoi cette couleur est dominante quelque part !
Roses, coquelicot, verre, peluche, feuilles, avec du blanc ou sans, plutôt rose que rouge,
velouté, craquante, translucide, sauvage ou cultivée, la fleur nous envoûte, sublimant sa robe pour notre seul plaisir !
Regardez sur le diaporama à droite et plus bas...
samedi 17 octobre 2009
Nous ramassons des coquillages que nous mettons à notre oreille.
Entendons-nous des sirènes chanter ?
Les bateaux sont là prêts à nous emmener mais vers quels horizons ?
Nous écrivons des messages un peu partout mais comme ceux écrits sur le sable, qu'en reste-t' il ?
Ainsi passe le temps, jour après jour.
Sans cesse écrivons-nous sur le sable, sans cesse crions-nous au bord de la mer mais le bruit de ses vagues anéantit notre espoir d'être entendu, la marée efface les mots.
Pourtant, nous espérons toujours que ces mots, ces cris soient entendus et ils le sont, car ceux qui les ont entendus les ont compris :
à leur façon !
Entendons-nous des sirènes chanter ?
Les bateaux sont là prêts à nous emmener mais vers quels horizons ?
Nous écrivons des messages un peu partout mais comme ceux écrits sur le sable, qu'en reste-t' il ?
Ainsi passe le temps, jour après jour.
Sans cesse écrivons-nous sur le sable, sans cesse crions-nous au bord de la mer mais le bruit de ses vagues anéantit notre espoir d'être entendu, la marée efface les mots.
Pourtant, nous espérons toujours que ces mots, ces cris soient entendus et ils le sont, car ceux qui les ont entendus les ont compris :
à leur façon !
les mots
Où sont les mots acides
comme des rondelles de citrons, les mots pointus tels des fils de fer barbelés
qui égratignent et font saigner
les certitudes ?
Où sont les mots doux
comme des nuages,
des plumes sous le vent,
que sont devenus les mots à deux,
répercutés par les deux cœurs,
engourdis par la passion ?
On entend seulement les mots durs
qui tuent l'espoir, les mots poisons qui rongent, les mots musique qui hurlent aux oreilles inattentives
démotivées.
On entend seulement
les mots enrobés de chocolat
doux-amers,
qui font passer avec impudeur
les couleuvres, les vipères et autres serpents
qui circulent parmi nous.
Il n'y a guère de mots d'espoir
bleus horizon,
rose dragée édulcorée,
de mots tendresse,
de mots doudous !
comme des rondelles de citrons, les mots pointus tels des fils de fer barbelés
qui égratignent et font saigner
les certitudes ?
Où sont les mots doux
comme des nuages,
des plumes sous le vent,
que sont devenus les mots à deux,
répercutés par les deux cœurs,
engourdis par la passion ?
On entend seulement les mots durs
qui tuent l'espoir, les mots poisons qui rongent, les mots musique qui hurlent aux oreilles inattentives
démotivées.
On entend seulement
les mots enrobés de chocolat
doux-amers,
qui font passer avec impudeur
les couleuvres, les vipères et autres serpents
qui circulent parmi nous.
Il n'y a guère de mots d'espoir
bleus horizon,
rose dragée édulcorée,
de mots tendresse,
de mots doudous !
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