lundi 8 novembre 2010
AUTOMNE
mardi 21 septembre 2010
voyage en terre alsacienne
et je vous livre le premier poême écrit à Riquewhir lors d'un voyage en "SOLEX"en 1970 :
Pittoresque Alsace
berceau d'un si bon vin,
et telle une rosace
accent blond et divin!
tu me fais chanter
ivre de plaisir
folle de gaité,
fais vivre le désir.
tu es belle, Alsace,
fille tendre et vivace
compagne souriante
semblable à un farniente.
mercredi 28 juillet 2010
voyage en terre d'enfance
Je l'ai montée pour aller faire les courses,
chercher le pain, entrer dans l'église juste en haut, à droite.
.
Rien n'a changé et je pourrais croire que mon père va sortir et ouvrir les volets,
que ma mère va prendre le courrier dans la boîte aux lettres...
mercredi 7 juillet 2010
générations
jeudi 24 juin 2010
ce qui n'a pas de prix
samedi 12 juin 2010
voyage voyage
Devant la traitrise de ceux qui s'en foutent
de votre vie !
Comment ne pas avoir envie de s'ouvrir les veines
et laisser couler la vie
dans ce fleuve ?
Comment avoir la force mais continuer malgré tout ?
Parce que la vie est la plus forte ?
Parce que la mort nous fait peur ?
Peut-être un peu des deux...
Je cherche un coin de ciel bleu,
un rayon de soleil,
pour effacer mes craintes.
vendredi 28 mai 2010
UN ETE AU JARDIN
Le soleil a pris ses aises
et l'onbre s'est effacée
mais le jardin se parfume
de thym, menthe et basilic.
Sous le noyer près du ciel
les mésanges se pavanent
dans leur plumage bleuté
et la brise papillonne.
Le soleil a disparu
sous les noisetiers feuillus,
l'Huisne sommeille en son lit
dans un tendre clapopis.
Un défilé de nuages
s'y bouscule sans un bruit
et les poissons font des bulles
aux canards et poules d'eau.
Le soleil a des regrets
a l'abri des cabanons.
Le jardin sent le bonheur ;
Le potager a la pêche,
les poires sont dans les pommes
et les roses fatiguées.
C'est l'été qui ma fredonne
ses indicibles beautés.
"Jardin de Funay" poème inédit de Odile Moller
vendredi 7 mai 2010
FLASH PRINTEMPS
Parfum de mars
brise caresse
sur mini feuilles
printemps d'averse
soleil en fleurs
jonquilles blanches
jaunes crocus
mésanges bleues
pierres de lune
et chant d'oiseaux
éclats de rires
terre vivante
serpents de lierre
pour rouges-gorges
rosiers taillés
et primevères
fusains garnis
bébés au nid
amour par cœur
printemps, printemps !
Odile Moller Poétesse au Mans
mercredi 21 avril 2010
petites chéries
lundi 29 mars 2010
une rose pour le printemps
dimanche 28 mars 2010
la mouche et le chat (suite)
car de l'autre côté de la rue, juste en face vit la vieille Rose. Et si Raoul voyait ce qu'elle élève, au fond de son jardin, dans des bocaux noirs de crasse...Car Rose est jalouse, oui, jalouse des chats de Raoul ! C'est comme ça...
jeudi 18 février 2010
la mouche et le chat
Sur son canapé elle rêve...
La mouche la titille, lui parle dans l'oreille. Elle est toute mollesse, comme un paillasson devant une porte richement ornée d'un château abandonné.
-Pfft ! Regarde-toi ! Comme tu es inutile à ton maître !
Pfft, pfft font ses ailes devant le museau de l'animal.
Elle ouvre un oeil et ne voit rien que son maître sur son fauteuil qui la regarde en souriant :
- Hé bien dis-donc, à quoi rêvais-tu ma toute belle ? Tes moustaches en frémissaient !
Mais comment notre beauté grise aurait pu répondre ?
Comment expliquer à son maître ce rêve de tous les jours ?
Elle se lève et court vers la porte vitrée, pose délicatement ses pattes sur le rebord de la paroi transparente qui lui permet de voir dehors. Et reste là, des heures durant.
Raoul se pose des questions. Que peut bien voir sa Princesse pour l'accaparer ainsi pendant des heures ?
-Princesse, vient ma beauté, viens voir Raoul !
Princesse se retourne et enfin décolle sa frimousse du froid de la vitre. Dans un froufroutement de son long pelage gris soyeux, elle daigne rejoindre son maître et d'un bond, se retrouve sur ses genoux. De ses doigts griffus, elle pétrit le ventre rebondi, de longs ronrons roulent dans sa gorge féline. Elle soupire.
-Que se passe-t'il ma douce ? Tu as faim ?
Les yeux mordorés se tournent vers l'homme. Elle pose sa tête sur le torse et ferme les yeux.
Alors revient le rêve et Princesse dans un bond se lève. Se retrouve à nouveau devant la porte vitrée.
S'il savait, Raoul !
Car juste de l'autre côté de la rue, juste en face,...
La mouche la titille, lui parle dans l'oreille. Elle est toute mollesse, comme un paillasson devant une porte richement ornée d'un château abandonné.
-Pfft ! Regarde-toi ! Comme tu es inutile à ton maître !
Pfft, pfft font ses ailes devant le museau de l'animal.
Elle ouvre un oeil et ne voit rien que son maître sur son fauteuil qui la regarde en souriant :
- Hé bien dis-donc, à quoi rêvais-tu ma toute belle ? Tes moustaches en frémissaient !
Mais comment notre beauté grise aurait pu répondre ?
Comment expliquer à son maître ce rêve de tous les jours ?
Elle se lève et court vers la porte vitrée, pose délicatement ses pattes sur le rebord de la paroi transparente qui lui permet de voir dehors. Et reste là, des heures durant.
Raoul se pose des questions. Que peut bien voir sa Princesse pour l'accaparer ainsi pendant des heures ?
-Princesse, vient ma beauté, viens voir Raoul !
Princesse se retourne et enfin décolle sa frimousse du froid de la vitre. Dans un froufroutement de son long pelage gris soyeux, elle daigne rejoindre son maître et d'un bond, se retrouve sur ses genoux. De ses doigts griffus, elle pétrit le ventre rebondi, de longs ronrons roulent dans sa gorge féline. Elle soupire.
-Que se passe-t'il ma douce ? Tu as faim ?
Les yeux mordorés se tournent vers l'homme. Elle pose sa tête sur le torse et ferme les yeux.
Alors revient le rêve et Princesse dans un bond se lève. Se retrouve à nouveau devant la porte vitrée.
S'il savait, Raoul !
Car juste de l'autre côté de la rue, juste en face,...
samedi 9 janvier 2010
bonne année
Inscription à :
Articles (Atom)