De belles boules de neiges à Noël, un bon repas aux chandelles,
et une multitude de cadeaux à s'échanger avec amour !
C'est ça Noël !
Je vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d'année !
lundi 21 décembre 2009
dimanche 22 novembre 2009
La vie de certains ressemble à cet ange confiant et pourtant s'ils savaient que le socle brisé est prêt à s'écrouler !
Nous avons de la chance, nos bases sont solides. Mais dans toutes nos pensées tendues vers des fêtes bientôt là, n'oublions pas ceux qui n'ont rien, peut-être, mais dont le cœur est rempli d'espoir !
Nous avons de la chance, nos bases sont solides. Mais dans toutes nos pensées tendues vers des fêtes bientôt là, n'oublions pas ceux qui n'ont rien, peut-être, mais dont le cœur est rempli d'espoir !
j'ai pleuré avec lui
J'ai pleuré en voyant ce gamin
de seize ans appeler ses parents
mais personne n'a répondu.
Alors il a craqué
alors il a pleuré
cachant de sa main ses yeux mouillés.
Qu'attendons-nous pour réagir ?
Nous avons le pouvoir
nous avons le devoir de le faire !
la détresse et le deuil sont le lot
quotidien des peuples qui souffrent
à cause de leur terre
parce qu'on a décidé
parce qu'ils ont décidé
eux les "grands" de ce monde
qu'un oléoduc devait y passer
déclenchant une guerre
et j'ai vu ce gamin fuyant avec son frère
errer sur une place
comme tant d'autres avec lui.
Une main fut tendue
généreuse, courageuse.
J'étais là impuissante
voyeuse de cet enfant de seize ans
qui m'a déchiré le cœur
de ses pleurs !
"maman, maman ? C'est moi, je vais bien "
si l'on peut dire ainsi.
Mais maman n'était pas présente au bout du fil.
Posant le récepteur, l'enfant dans sa douleur
s'est retrouvé en pleur.
Et vous que faites-vous ?
Halte, où allez-vous ?
Vous marchez, trop vite, c'est interdit !
Et vous où allez-vous ?
N'ouvrez pas cette porte,
n'interrompez pas le spectacle
de ces vies déchirées.
Et vous que faites-vous ?
Vous parlez, vous osez, écrivez, vous osez !
Ne savez-vous donc pas
que c'est interdit !
depuis quand ?
Depuis aujourd'hui...
de seize ans appeler ses parents
mais personne n'a répondu.
Alors il a craqué
alors il a pleuré
cachant de sa main ses yeux mouillés.
Qu'attendons-nous pour réagir ?
Nous avons le pouvoir
nous avons le devoir de le faire !
la détresse et le deuil sont le lot
quotidien des peuples qui souffrent
à cause de leur terre
parce qu'on a décidé
parce qu'ils ont décidé
eux les "grands" de ce monde
qu'un oléoduc devait y passer
déclenchant une guerre
et j'ai vu ce gamin fuyant avec son frère
errer sur une place
comme tant d'autres avec lui.
Une main fut tendue
généreuse, courageuse.
J'étais là impuissante
voyeuse de cet enfant de seize ans
qui m'a déchiré le cœur
de ses pleurs !
"maman, maman ? C'est moi, je vais bien "
si l'on peut dire ainsi.
Mais maman n'était pas présente au bout du fil.
Posant le récepteur, l'enfant dans sa douleur
s'est retrouvé en pleur.
Et vous que faites-vous ?
Halte, où allez-vous ?
Vous marchez, trop vite, c'est interdit !
Et vous où allez-vous ?
N'ouvrez pas cette porte,
n'interrompez pas le spectacle
de ces vies déchirées.
Et vous que faites-vous ?
Vous parlez, vous osez, écrivez, vous osez !
Ne savez-vous donc pas
que c'est interdit !
depuis quand ?
Depuis aujourd'hui...
mardi 10 novembre 2009
mur des générations
lundi 26 octobre 2009
Toutes rouges ou presque...
Voici des photos toutes rouges ou presque, comme quoi cette couleur est dominante quelque part !
Roses, coquelicot, verre, peluche, feuilles, avec du blanc ou sans, plutôt rose que rouge,
velouté, craquante, translucide, sauvage ou cultivée, la fleur nous envoûte, sublimant sa robe pour notre seul plaisir !
Regardez sur le diaporama à droite et plus bas...
samedi 17 octobre 2009
Nous ramassons des coquillages que nous mettons à notre oreille.
Entendons-nous des sirènes chanter ?
Les bateaux sont là prêts à nous emmener mais vers quels horizons ?
Nous écrivons des messages un peu partout mais comme ceux écrits sur le sable, qu'en reste-t' il ?
Ainsi passe le temps, jour après jour.
Sans cesse écrivons-nous sur le sable, sans cesse crions-nous au bord de la mer mais le bruit de ses vagues anéantit notre espoir d'être entendu, la marée efface les mots.
Pourtant, nous espérons toujours que ces mots, ces cris soient entendus et ils le sont, car ceux qui les ont entendus les ont compris :
à leur façon !
Entendons-nous des sirènes chanter ?
Les bateaux sont là prêts à nous emmener mais vers quels horizons ?
Nous écrivons des messages un peu partout mais comme ceux écrits sur le sable, qu'en reste-t' il ?
Ainsi passe le temps, jour après jour.
Sans cesse écrivons-nous sur le sable, sans cesse crions-nous au bord de la mer mais le bruit de ses vagues anéantit notre espoir d'être entendu, la marée efface les mots.
Pourtant, nous espérons toujours que ces mots, ces cris soient entendus et ils le sont, car ceux qui les ont entendus les ont compris :
à leur façon !
les mots
Où sont les mots acides
comme des rondelles de citrons, les mots pointus tels des fils de fer barbelés
qui égratignent et font saigner
les certitudes ?
Où sont les mots doux
comme des nuages,
des plumes sous le vent,
que sont devenus les mots à deux,
répercutés par les deux cœurs,
engourdis par la passion ?
On entend seulement les mots durs
qui tuent l'espoir, les mots poisons qui rongent, les mots musique qui hurlent aux oreilles inattentives
démotivées.
On entend seulement
les mots enrobés de chocolat
doux-amers,
qui font passer avec impudeur
les couleuvres, les vipères et autres serpents
qui circulent parmi nous.
Il n'y a guère de mots d'espoir
bleus horizon,
rose dragée édulcorée,
de mots tendresse,
de mots doudous !
comme des rondelles de citrons, les mots pointus tels des fils de fer barbelés
qui égratignent et font saigner
les certitudes ?
Où sont les mots doux
comme des nuages,
des plumes sous le vent,
que sont devenus les mots à deux,
répercutés par les deux cœurs,
engourdis par la passion ?
On entend seulement les mots durs
qui tuent l'espoir, les mots poisons qui rongent, les mots musique qui hurlent aux oreilles inattentives
démotivées.
On entend seulement
les mots enrobés de chocolat
doux-amers,
qui font passer avec impudeur
les couleuvres, les vipères et autres serpents
qui circulent parmi nous.
Il n'y a guère de mots d'espoir
bleus horizon,
rose dragée édulcorée,
de mots tendresse,
de mots doudous !
lundi 21 septembre 2009
les marais poitevins
Visite dans les marais poitevins grâce à notre guide Jean, 83 ans et qui nous a donné envie d'y retourner par une nuit étoilée, alanguis sur ce bateau plat, la tête près des étoiles, écoutant seulement le doux clapotis de l'eau, le bruissement des feuilles bercées par le vent, un falot à l'avant dont la flamme tremblotante donne aux arbres l'allure de fantômes ! Des remous surgissent des feux, alimentés par la vase et les plantes en décomposition...
mardi 15 septembre 2009
le fond des océans
jardin exotique
mardi 1 septembre 2009
prochaînement sur le blog
jeudi 27 août 2009
hommage à celle qui a perdu ...
ma chère maman,
je sais que tu ne lira jamais ce texte
c'est bientôt ton anniversaire
tu es si fière d'être allé aussi loin !
"80 balais, c'est pas vrai"
Une petite carte avec de jolies couleurs
quelques mots pour un peu de tendresse
mais depuis peu, enfin,
non, depuis quelque temps déjà,
il me faut vraiment être proche de toi
pour que tu me reconnaisses
et ce qui me fait mal
c'est d'être
ta mémoire !
c'est de devoir me rappeler de ta mémoire.
Tu as une mémoire mais
ce n'est pas la tienne.
C'en est une autre que tu t'es accaparée
mais d'où vient' elle ?
Et je dois me souvenir de tes souvenirs
et te dire :" oui je sais"
même si je ne sais pas.
Je ne connais pas cette robe bleue aux bouquets de fleurs
de ton mariage.
Où était-ce ?
Ha oui, là-bas ...
Elle était blanche ta robe mais
je ne peux m'en souvenir car je n'étais pas née...
Non, je n'ai pas ce souvenir là, maman !
je sais que tu ne lira jamais ce texte
c'est bientôt ton anniversaire
tu es si fière d'être allé aussi loin !
"80 balais, c'est pas vrai"
Une petite carte avec de jolies couleurs
quelques mots pour un peu de tendresse
mais depuis peu, enfin,
non, depuis quelque temps déjà,
il me faut vraiment être proche de toi
pour que tu me reconnaisses
et ce qui me fait mal
c'est d'être
ta mémoire !
c'est de devoir me rappeler de ta mémoire.
Tu as une mémoire mais
ce n'est pas la tienne.
C'en est une autre que tu t'es accaparée
mais d'où vient' elle ?
Et je dois me souvenir de tes souvenirs
et te dire :" oui je sais"
même si je ne sais pas.
Je ne connais pas cette robe bleue aux bouquets de fleurs
de ton mariage.
Où était-ce ?
Ha oui, là-bas ...
Elle était blanche ta robe mais
je ne peux m'en souvenir car je n'étais pas née...
Non, je n'ai pas ce souvenir là, maman !
samedi 13 juin 2009
j'aimerais...
J'aimerais parfois être comme ces insectes qui se cachent dans les fleurs
j'aimerais parfois ne plus sentir sur moi
tout le poids des questions qui m'accablent
ne plus voir le désert des cœurs secs
de ceux qui ont tout
savoir où aller sans me poser de question
je remplis pourtant ma vie
de moments généreux
de joie partagée
des moments où mon cœur déborde de tendresse
mais aussi de moments durs quand
mes enfants vont mal et que je ne peux rien faire
quand je n'ai personne
pour partager ma peine et que mes espoirs
s'écroulent
devant la frénésie de certains qui veulent
la reconnaissance
je me sens parfois inutile
tant est que l'on soit utile
il y a certains lieux qui me font peur et
m'angoissent
quand j'y vois des vieillards
qui appellent et pleurent
leurs parents perdus à jamais
mais qui l'ont oublié
et alors je regarde
celle qui m'a donné la vie
et enfin je souris
car elle m'a donné sa force
celle de rire devant les difficultés
d'avancer
d'aller toujours plus loin
d'emprunter des chemins
même s'ils sont lointains
d'être au creux des vagues mais
de profiter du vent qui gonfle
le courant et me remonte ainsi
pour courir sur les crêtes
portée par les ailes
du vent
m'envoler munie de mon crayon
et remplir enfin des pages
qui vident mon esprit
et me retrouve tranquille
parmi des personnages
certes de papier mais
qui sont les miens.
j'aimerais parfois ne plus sentir sur moi
tout le poids des questions qui m'accablent
ne plus voir le désert des cœurs secs
de ceux qui ont tout
savoir où aller sans me poser de question
je remplis pourtant ma vie
de moments généreux
de joie partagée
des moments où mon cœur déborde de tendresse
mais aussi de moments durs quand
mes enfants vont mal et que je ne peux rien faire
quand je n'ai personne
pour partager ma peine et que mes espoirs
s'écroulent
devant la frénésie de certains qui veulent
la reconnaissance
je me sens parfois inutile
tant est que l'on soit utile
il y a certains lieux qui me font peur et
m'angoissent
quand j'y vois des vieillards
qui appellent et pleurent
leurs parents perdus à jamais
mais qui l'ont oublié
et alors je regarde
celle qui m'a donné la vie
et enfin je souris
car elle m'a donné sa force
celle de rire devant les difficultés
d'avancer
d'aller toujours plus loin
d'emprunter des chemins
même s'ils sont lointains
d'être au creux des vagues mais
de profiter du vent qui gonfle
le courant et me remonte ainsi
pour courir sur les crêtes
portée par les ailes
du vent
m'envoler munie de mon crayon
et remplir enfin des pages
qui vident mon esprit
et me retrouve tranquille
parmi des personnages
certes de papier mais
qui sont les miens.
des roses toujours...
samedi 6 juin 2009
jeu de Pato le chien
Ami(e)s bloggers,
voici l'adresse d'un site à visiter pour vous parents qui connaissez les difficultés rencontrées par des enfants ayant des problèmes de lecture.
Ce site vous propose des jeux très ludiques pour que votre enfant ait du plaisir à lire.
Vous devez écrire l'adresse directement dans la barre de recherche :
www.jeux-enfants-lecture.com
Ce jeu est proposé par Brigitte Etienne 4 rue d'Estournelles de C. 72600 MAMERS
voici l'adresse d'un site à visiter pour vous parents qui connaissez les difficultés rencontrées par des enfants ayant des problèmes de lecture.
Ce site vous propose des jeux très ludiques pour que votre enfant ait du plaisir à lire.
Vous devez écrire l'adresse directement dans la barre de recherche :
www.jeux-enfants-lecture.com
Ce jeu est proposé par Brigitte Etienne 4 rue d'Estournelles de C. 72600 MAMERS
dimanche 24 mai 2009
le thym est habité...
joli coquelicot madame...
lundi 18 mai 2009
nos petites chéries
nos petites chéries
portraits de nos petites chéries
dimanche 19 avril 2009
invitation
Vous êtes invités à venir visiter l'exposition de peintures de Véronique Lesage, peintre animalier, de photos de Blandine Borence à la Ferté Bernard, chapelle saint Liphard du
25 avril au 10 mai.
Horaires d'ouverture : vendredi samedi et dimanche de 14h30 à 18h30 lundi de 10h à 12h30.
A cette occasion, Blandine Borence dédicacera ses deux nouveaux livres : "les tôles fatales" roman policier, et "histoires à lire et à rêver, autres histoires" contes pour tous publics.
Blandine Borence expose aussi ses photos à l' Office de tourisme de Mamers et du Saosnois, place Carnot, du 2 mai au 25 mai.
Horaires d'ouverture de l'office de tourisme.
25 avril au 10 mai.
Horaires d'ouverture : vendredi samedi et dimanche de 14h30 à 18h30 lundi de 10h à 12h30.
A cette occasion, Blandine Borence dédicacera ses deux nouveaux livres : "les tôles fatales" roman policier, et "histoires à lire et à rêver, autres histoires" contes pour tous publics.
Blandine Borence expose aussi ses photos à l' Office de tourisme de Mamers et du Saosnois, place Carnot, du 2 mai au 25 mai.
Horaires d'ouverture de l'office de tourisme.
lundi 6 avril 2009
le printemps est là !
lundi 23 mars 2009
L'homme du métro
Je regardais mon plan de métro mais Tristan me fit signe que lui, il connaissait.
-Vous savez, je suis né à Paris. Alors le métro, je connais. Venez, on descend là.
Station Nation puis direction Etoile. Les stations défilaient et toujours ça montait et ça descendait.
Un air d'accordéon envahit l'espace. Un instant j'ai cru que c'était mon amie qui jouait mais non. C'était un étranger. Il jouait bien. J'ai souri.
-Vous aimez ? demande Tristan qui fouille ses poches. Il en resort une pièce de monnaie.
Moi, je n'ai jamais de monnaie ni aucun argent sur moi.( Çà évite de se faire voler et d'avoir des problèmes).
L'homme à l'accordéon passait maintenant entre les sièges, tendant son porte-monnaie.
-Merci monsieur, merci madame.
Tristan lui a donné sa pièce.
-Merci monsieur.
Je lui ai souri. C'est tout ce que j'ai à donner.
-Merci madame. Un sourire c'est déjà beaucoup !
Nous arrivâmes enfin à destination : Charles de Gaulle-Etoile.
Tristan était là, il me prit la main. Je le laissais faire.
Nous nous retrouvâmes au bout des Champs Elysées et l' Arc de triomphe était énorme. Des drapeaux flottaient tout en haut. Moi, je veux aller tout en bas. La crypte était ouverte et nous y entrâmes. La flamme brûlait, éclairant faiblement l'endroit désert.
Je me plaçais face à Tristan qui m'a prise dans ses bras. Ses lèvres ont touché les miennes et soudain il m'a regardée. Il ne tenait plus dans ses bras la fille du métro.
Mes ailes se sont déployées dans mon dos, mes cheveux se sont mis à onduler et à briller autour de moi.
Mon habit de lumière irradiait tout l'espace autour de nous. Tristan avait l'air complètement sonné et ahuri. Ma voix fut comme une douce mélodie à ses oreilles.
-Voilà, Tristan qui je suis : ton ange et je suis venue te chercher. L'heure est venue.
L'enveloppe charnelle de Tristan s'effondra sur le sol et nous nous sommes envolés tous deux hors du temps et de l'espace.
FIN
-Vous savez, je suis né à Paris. Alors le métro, je connais. Venez, on descend là.
Station Nation puis direction Etoile. Les stations défilaient et toujours ça montait et ça descendait.
Un air d'accordéon envahit l'espace. Un instant j'ai cru que c'était mon amie qui jouait mais non. C'était un étranger. Il jouait bien. J'ai souri.
-Vous aimez ? demande Tristan qui fouille ses poches. Il en resort une pièce de monnaie.
Moi, je n'ai jamais de monnaie ni aucun argent sur moi.( Çà évite de se faire voler et d'avoir des problèmes).
L'homme à l'accordéon passait maintenant entre les sièges, tendant son porte-monnaie.
-Merci monsieur, merci madame.
Tristan lui a donné sa pièce.
-Merci monsieur.
Je lui ai souri. C'est tout ce que j'ai à donner.
-Merci madame. Un sourire c'est déjà beaucoup !
Nous arrivâmes enfin à destination : Charles de Gaulle-Etoile.
Tristan était là, il me prit la main. Je le laissais faire.
Nous nous retrouvâmes au bout des Champs Elysées et l' Arc de triomphe était énorme. Des drapeaux flottaient tout en haut. Moi, je veux aller tout en bas. La crypte était ouverte et nous y entrâmes. La flamme brûlait, éclairant faiblement l'endroit désert.
Je me plaçais face à Tristan qui m'a prise dans ses bras. Ses lèvres ont touché les miennes et soudain il m'a regardée. Il ne tenait plus dans ses bras la fille du métro.
Mes ailes se sont déployées dans mon dos, mes cheveux se sont mis à onduler et à briller autour de moi.
Mon habit de lumière irradiait tout l'espace autour de nous. Tristan avait l'air complètement sonné et ahuri. Ma voix fut comme une douce mélodie à ses oreilles.
-Voilà, Tristan qui je suis : ton ange et je suis venue te chercher. L'heure est venue.
L'enveloppe charnelle de Tristan s'effondra sur le sol et nous nous sommes envolés tous deux hors du temps et de l'espace.
FIN
mardi 10 mars 2009
L'homme du métro
Je gagnais du temps sur la réponse.
-Voilà m'sieur-dame ! çà fait 5 euros !
Tristan fouilla dans ses poches, en sortit un billet froissé.
-Merci m'sieur-dame !
Me voici avec une jolie théière qui ressemble à un éléphant. Tristan sourit.
-Il vous a gâtée ! Jolie théière !
Ouais, ben si on continue comme ça dans les platitudes, on ne va pas aller bien loin !!!
Tristan avala son café et se leva. Il venait de regarder sa montre et s'excusa.
-Zut, le temps passe trop vite. On se revoit dans le métro ? Demain ?
-Oui oui, demain dans le métro.
Et il est parti. Et moi aussi je suis partie. Beaucoup plus vite que lui. J'ai repris ma place dans le wagon. Des gens montaient, d'autres descendaient...
Et ça y est, il fut là, devant moi. Ses yeux souriaient en me voyant.
-Bonjour ! Votre thé était bon ? Au fait, vous ne m'avez pas dit votre nom hier !
-Gabrielle. Oui, le thé était excellent !(menteuse, tu n'y as même pas touché !)
Toujours le Père-Lachaise ?
-Non, pas aujourd'hui, je suis libre. Et vous ?
Moi ? je n'avais pas pensé à cette éventualité mais ma petite vois me disait que c'était le bon moment.
-C'est super car je suis libre aussi. Vous avez un endroit précis où vous désirez aller ?
Tristan me regarda, les yeux brillants. Il avait les yeux sombres et je pouvais lire en eux comme dans un livre ouvert. Là, ils me disaient que Tristan était heureux.
J'avais une idée qui pouvait lui plaire.
-J'aimerais aller sur la tombe du soldat inconnu, vous savez, sous l'arc de triomphe.
Il eut l'air vraiment étonné.
-Bien, pourquoi pas si vous y tenez ! Ce n'est pas un endroit très gai vous savez !
-ça ne fait rien. Ce sera parfait !
-Voilà m'sieur-dame ! çà fait 5 euros !
Tristan fouilla dans ses poches, en sortit un billet froissé.
-Merci m'sieur-dame !
Me voici avec une jolie théière qui ressemble à un éléphant. Tristan sourit.
-Il vous a gâtée ! Jolie théière !
Ouais, ben si on continue comme ça dans les platitudes, on ne va pas aller bien loin !!!
Tristan avala son café et se leva. Il venait de regarder sa montre et s'excusa.
-Zut, le temps passe trop vite. On se revoit dans le métro ? Demain ?
-Oui oui, demain dans le métro.
Et il est parti. Et moi aussi je suis partie. Beaucoup plus vite que lui. J'ai repris ma place dans le wagon. Des gens montaient, d'autres descendaient...
Et ça y est, il fut là, devant moi. Ses yeux souriaient en me voyant.
-Bonjour ! Votre thé était bon ? Au fait, vous ne m'avez pas dit votre nom hier !
-Gabrielle. Oui, le thé était excellent !(menteuse, tu n'y as même pas touché !)
Toujours le Père-Lachaise ?
-Non, pas aujourd'hui, je suis libre. Et vous ?
Moi ? je n'avais pas pensé à cette éventualité mais ma petite vois me disait que c'était le bon moment.
-C'est super car je suis libre aussi. Vous avez un endroit précis où vous désirez aller ?
Tristan me regarda, les yeux brillants. Il avait les yeux sombres et je pouvais lire en eux comme dans un livre ouvert. Là, ils me disaient que Tristan était heureux.
J'avais une idée qui pouvait lui plaire.
-J'aimerais aller sur la tombe du soldat inconnu, vous savez, sous l'arc de triomphe.
Il eut l'air vraiment étonné.
-Bien, pourquoi pas si vous y tenez ! Ce n'est pas un endroit très gai vous savez !
-ça ne fait rien. Ce sera parfait !
lundi 2 mars 2009
Un pont sur une rivière
Voici un pont auprès duquel je me suis reposée.
Un pont sous lequel coule une rivière tranquille...
Jusqu'à quand ?
Car certains veillent
à polluer et maltraiter
les champs.
Car certains veillent
à nous faire croire
que les OGM peuvent
contre nature
nous nourrir tous
où que nous vivions !
Mais c'est faux !
Rien n'est moins sûr...
Soyons vigilants
pour nos enfants
pour les enfants de ceux-ci
afin qu'ils puissent aussi
se promener comme moi
devant ce pont
au bord de cette rivière
non POLLUEE.
Un pont sous lequel coule une rivière tranquille...
Jusqu'à quand ?
Car certains veillent
à polluer et maltraiter
les champs.
Car certains veillent
à nous faire croire
que les OGM peuvent
contre nature
nous nourrir tous
où que nous vivions !
Mais c'est faux !
Rien n'est moins sûr...
Soyons vigilants
pour nos enfants
pour les enfants de ceux-ci
afin qu'ils puissent aussi
se promener comme moi
devant ce pont
au bord de cette rivière
non POLLUEE.
mardi 17 février 2009
vendredi 13 février 2009
L'homme du métro
Il y avait du monde dans le métro et j'occupais toujours la même place. Il est monté à son tour et a pris sa place.
Il a évité mon regard, fait comme si on ne se connaissait pas. Puis, une espèce de rocker est monté, l'air bizarre. Il m'a regardé et a commencé à me parler. Il était pas mal : grand, blond, la mèche ondulée façon Johnny des années soixante, mais il m'embêtait vraiment. Je ne savais pas quoi faire ni quoi lui répondre, alors j'ai tenté mon va-tout. Et en m'adressant à mon voisin d'en face qui semblait beaucoup s'amuser :
- Chéri ! Dis-lui donc qu'on est mariés ! Qu'il me fiche la paix !
Et c'est comme ça que le miracle a eu lieu.
- C'est vrai quoi ! Laissez tomber ! Elle est prise et par moi.
Et joignant le geste à la parole, il s'est assis à côté de moi.
Le beau blond a eu une mou désabusée et c'est à la station suivante qu'il est descendu.
- Merci, c'était sympa. Ne m'en veuillez pas pour hier. Je tiens à m'excuser et je vous offre un verre. Alors, ça vous dit ?
Je n'en revenais pas de ma propre audace et cela ne faisait pas partie de mon boulot.
Qu'est-ce que je faisais ? Il fallait qu'il sache. C'était ma petite voix intérieure qui me parlait. Pourquoi devait-il savoir ? Je n'en avais pas envie mais alors pas du tout car je m'amusais bien pour une fois !
- Si on descendait là ?
On avait raté Gare du Nord et on était maintenant Gare de l'Est.
Il me plaisait et il était drôle !
- Descendre Gare de l'Est ? Oui, pourquoi pas ! Il y a toujours beaucoup de monde ici, vous savez. Il faut se trouver une place quelque part.
Il me regarda bizarrement et éclata de rire.
- Oh, ne craignez rien, il y a toujours des places, surtout à cette heure là !
Mais arrivés dans la gare, nous dûmes vite déchanter. Que de monde ! Pourtant, au buffet de la gare, il restait une petite table dans un coin. C'était suffisant.
- Voilà. On est bien ici. Que prenez-vous ?
- Heu, un thé, un thé au lait. Froid le lait !
Le garçon attendait déjà à notre table.
- Ces messieurs-dame désirent ?
- Un petit noir et un thé au lait. Froid le lait.
Et le garçon disparut, nous laissant en tête-à-tête.
- Vous n'enlevez pas votre chapeau ni vos lunettes ? J'aimerais connaître la couleur de ces yeux qui me suivent depuis ces jours dans le métro ! Vous m'avez intrigué, franchement ! Qui êtes-vous ?
Oh la la ! Toutes ces questions !!! Je croyais que les hommes ne parlaient pas !
Je suis gâtée avec le mien ! Je ne pouvais décemment pas ôter mon chapeau et encore moins mes lunettes !
- Je ne peux pas vous montrer mes yeux. Ils sont quelconques et je porte une perruque. C'est ma maladie qui veut çà. ( Alors là, quelle menteuse !)
- Ha, dommage ! Au fait, moi c'est Tristan. Je travaille au Père-Lachaise, enfin, à côté, et vous ?
- Le Père-Lachaise ? Je connais bien et c'est vraiment un coin sympa : Qu'est-ce que je fais ? Heu... surveillante. Oui, c'est ça. Je fais de la surveillance.
- Ah ? Et vous surveillez quoi ?
Le serveur arriva juste à point avec nos consommations.
-
Il a évité mon regard, fait comme si on ne se connaissait pas. Puis, une espèce de rocker est monté, l'air bizarre. Il m'a regardé et a commencé à me parler. Il était pas mal : grand, blond, la mèche ondulée façon Johnny des années soixante, mais il m'embêtait vraiment. Je ne savais pas quoi faire ni quoi lui répondre, alors j'ai tenté mon va-tout. Et en m'adressant à mon voisin d'en face qui semblait beaucoup s'amuser :
- Chéri ! Dis-lui donc qu'on est mariés ! Qu'il me fiche la paix !
Et c'est comme ça que le miracle a eu lieu.
- C'est vrai quoi ! Laissez tomber ! Elle est prise et par moi.
Et joignant le geste à la parole, il s'est assis à côté de moi.
Le beau blond a eu une mou désabusée et c'est à la station suivante qu'il est descendu.
- Merci, c'était sympa. Ne m'en veuillez pas pour hier. Je tiens à m'excuser et je vous offre un verre. Alors, ça vous dit ?
Je n'en revenais pas de ma propre audace et cela ne faisait pas partie de mon boulot.
Qu'est-ce que je faisais ? Il fallait qu'il sache. C'était ma petite voix intérieure qui me parlait. Pourquoi devait-il savoir ? Je n'en avais pas envie mais alors pas du tout car je m'amusais bien pour une fois !
- Si on descendait là ?
On avait raté Gare du Nord et on était maintenant Gare de l'Est.
Il me plaisait et il était drôle !
- Descendre Gare de l'Est ? Oui, pourquoi pas ! Il y a toujours beaucoup de monde ici, vous savez. Il faut se trouver une place quelque part.
Il me regarda bizarrement et éclata de rire.
- Oh, ne craignez rien, il y a toujours des places, surtout à cette heure là !
Mais arrivés dans la gare, nous dûmes vite déchanter. Que de monde ! Pourtant, au buffet de la gare, il restait une petite table dans un coin. C'était suffisant.
- Voilà. On est bien ici. Que prenez-vous ?
- Heu, un thé, un thé au lait. Froid le lait !
Le garçon attendait déjà à notre table.
- Ces messieurs-dame désirent ?
- Un petit noir et un thé au lait. Froid le lait.
Et le garçon disparut, nous laissant en tête-à-tête.
- Vous n'enlevez pas votre chapeau ni vos lunettes ? J'aimerais connaître la couleur de ces yeux qui me suivent depuis ces jours dans le métro ! Vous m'avez intrigué, franchement ! Qui êtes-vous ?
Oh la la ! Toutes ces questions !!! Je croyais que les hommes ne parlaient pas !
Je suis gâtée avec le mien ! Je ne pouvais décemment pas ôter mon chapeau et encore moins mes lunettes !
- Je ne peux pas vous montrer mes yeux. Ils sont quelconques et je porte une perruque. C'est ma maladie qui veut çà. ( Alors là, quelle menteuse !)
- Ha, dommage ! Au fait, moi c'est Tristan. Je travaille au Père-Lachaise, enfin, à côté, et vous ?
- Le Père-Lachaise ? Je connais bien et c'est vraiment un coin sympa : Qu'est-ce que je fais ? Heu... surveillante. Oui, c'est ça. Je fais de la surveillance.
- Ah ? Et vous surveillez quoi ?
Le serveur arriva juste à point avec nos consommations.
-
vendredi 6 février 2009
voyage lointain
voyage lointain
voyage lointain suite
mardi 27 janvier 2009
L'homme du métro
Tous les jours je le voyais monter. A Stalingrad, juste avant Riquet.
Inévitablement, il s'installait en face de moi. On descendait tous les deux à gare du Nord et après, je prenais vers Clignancourt et lui, je ne savais pas.
J'avais le temps de regarder autour de moi. Tous ces visages si différents, toutes ces tailles, ces vêtements, ces âges...
Je regardais aussi les chaussures : baskets, mocassins, sandales, escarpins, nu-pieds.
Cuir, toile, synthétique.
Et toutes ces odeurs : sueurs aigres ou sucrées, les noires étant plus suaves et les arabes plus acides. Senteurs musquées ou poivrées, fleuries ou boisées.
Parfums de grandes marques ou sent-bon de supermarché.
Lui, je ne sais pas ce qu'il sentait. Je le voyais de face. Il devait me voir aussi avec mes lunettes noires, mon chapeau rabattu sur mon front et mes vêtements quelconques. Je faisais partie de la foule, noyée dans la masse de tous ces individus.
On se regardait réciproquement et sans doute avions-nous les mêmes questions dans la tête : Qui est-il ? Qui est-elle ? Ou peut-être pas...
Il fallait bien forcer le destin, alors...
Un jour, je l'ai suivi.
Il s'est arrêté à Nation. Là, en bas de l'escalier, il y a toujours une dame qui joue de l'accordéon. Les gens la connaissent et lui disent bonjour. J'étais restée là toute une journée et elle avait vraiment fait une bonne recette. Elle m'a remerciée d'être là, à ses côtés.
- Vous êtes mon ange. Vous m'avez porté bonheur.
Pourtant, je ne ressemble pas à un ange, ou si peu.
La dame est là, sur son siège. Je me suis demandée si elle était handicapée, vu qu'elle restait des heures à jouer sans bouger de sa chaise. Je ne suis jamais restée assez longtemps pour le savoir.
Bref, la dame est là et mon voisin de face du métro s'est arrêté. Il écoute la musique.
C'est du Piaf : " Quand il me prend dans ses bras, qu'il me parle tout bas, je vois la vie en rose..."
Je m'arrête derrière lui. C'est drôle, j'ai l'impression que c'est une chanson pour nous, lui et moi.
Il se retourne brusquement car il a senti ma présence. Il me regarde et il sourit.
- Bonjour ! D'habitude vous ne passez pas par ici !
- C'est vrai mais aujourd'hui', c'est différent ! Vous allez où ?
C'est comme un éclair de colère qui traverse son regard et il s'enfuit.
Tant pis pour lui !
Je cours très vite quand il le faut. J'ai juste le temps de le voir sortir mais il n'est pas assez rapide. Il me retrouve sur le trottoir.
- Mais...Comment...?
Il n'en revient pas !
Moi aussi, je suis un peu surprise mais bon, il me plaît ! Ai-je une chance avec lui ?
Je ne sais pas si je peux avoir cette pensée : il me plaît.
Pourtant, elle est là, cette pensée !
Il attend une explication qui ne vient pas, alors il repart et je retourne d'où je viens.
Et puis, un jour qui aurait dû être semblable aux autres, quelque chose se passe...
Inévitablement, il s'installait en face de moi. On descendait tous les deux à gare du Nord et après, je prenais vers Clignancourt et lui, je ne savais pas.
J'avais le temps de regarder autour de moi. Tous ces visages si différents, toutes ces tailles, ces vêtements, ces âges...
Je regardais aussi les chaussures : baskets, mocassins, sandales, escarpins, nu-pieds.
Cuir, toile, synthétique.
Et toutes ces odeurs : sueurs aigres ou sucrées, les noires étant plus suaves et les arabes plus acides. Senteurs musquées ou poivrées, fleuries ou boisées.
Parfums de grandes marques ou sent-bon de supermarché.
Lui, je ne sais pas ce qu'il sentait. Je le voyais de face. Il devait me voir aussi avec mes lunettes noires, mon chapeau rabattu sur mon front et mes vêtements quelconques. Je faisais partie de la foule, noyée dans la masse de tous ces individus.
On se regardait réciproquement et sans doute avions-nous les mêmes questions dans la tête : Qui est-il ? Qui est-elle ? Ou peut-être pas...
Il fallait bien forcer le destin, alors...
Un jour, je l'ai suivi.
Il s'est arrêté à Nation. Là, en bas de l'escalier, il y a toujours une dame qui joue de l'accordéon. Les gens la connaissent et lui disent bonjour. J'étais restée là toute une journée et elle avait vraiment fait une bonne recette. Elle m'a remerciée d'être là, à ses côtés.
- Vous êtes mon ange. Vous m'avez porté bonheur.
Pourtant, je ne ressemble pas à un ange, ou si peu.
La dame est là, sur son siège. Je me suis demandée si elle était handicapée, vu qu'elle restait des heures à jouer sans bouger de sa chaise. Je ne suis jamais restée assez longtemps pour le savoir.
Bref, la dame est là et mon voisin de face du métro s'est arrêté. Il écoute la musique.
C'est du Piaf : " Quand il me prend dans ses bras, qu'il me parle tout bas, je vois la vie en rose..."
Je m'arrête derrière lui. C'est drôle, j'ai l'impression que c'est une chanson pour nous, lui et moi.
Il se retourne brusquement car il a senti ma présence. Il me regarde et il sourit.
- Bonjour ! D'habitude vous ne passez pas par ici !
- C'est vrai mais aujourd'hui', c'est différent ! Vous allez où ?
C'est comme un éclair de colère qui traverse son regard et il s'enfuit.
Tant pis pour lui !
Je cours très vite quand il le faut. J'ai juste le temps de le voir sortir mais il n'est pas assez rapide. Il me retrouve sur le trottoir.
- Mais...Comment...?
Il n'en revient pas !
Moi aussi, je suis un peu surprise mais bon, il me plaît ! Ai-je une chance avec lui ?
Je ne sais pas si je peux avoir cette pensée : il me plaît.
Pourtant, elle est là, cette pensée !
Il attend une explication qui ne vient pas, alors il repart et je retourne d'où je viens.
Et puis, un jour qui aurait dû être semblable aux autres, quelque chose se passe...
mardi 20 janvier 2009
une tempête s'est levée
Une tempête vient de se lever au-delà de nos frontières !
Un grand vent de changement souffle
sur ceux qui ont profité
et profitent encore
et en veulent toujours plus !
J'ai écouté avec beaucoup de recueillement
ce discours dérangeant
qui fait battre nos cœurs
car il est porteur d'espoir
pour ceux qui souffrent et qui n'ont rien
ceux dont on pille sans vergogne les ressources.
Et je pense que nous aussi,
nous pouvons à notre manière,
être porteurs de ces valeurs que nous avons
jetées aux orties !
Si on dit maintenant : courage, partage
si on dit aussi : respect et tolérance,
cela résonnera-t' il enfin aux oreilles de ceux
qui ne connaissent que : profits et guerres
ceux qui ne pensent que : licenciements et dérèglementation ?
Je l'espère, oui, je l'espère
pour mes enfants, pour vos enfants,
et pour les générations futures.
Un grand vent de changement souffle
sur ceux qui ont profité
et profitent encore
et en veulent toujours plus !
J'ai écouté avec beaucoup de recueillement
ce discours dérangeant
qui fait battre nos cœurs
car il est porteur d'espoir
pour ceux qui souffrent et qui n'ont rien
ceux dont on pille sans vergogne les ressources.
Et je pense que nous aussi,
nous pouvons à notre manière,
être porteurs de ces valeurs que nous avons
jetées aux orties !
Si on dit maintenant : courage, partage
si on dit aussi : respect et tolérance,
cela résonnera-t' il enfin aux oreilles de ceux
qui ne connaissent que : profits et guerres
ceux qui ne pensent que : licenciements et dérèglementation ?
Je l'espère, oui, je l'espère
pour mes enfants, pour vos enfants,
et pour les générations futures.
vendredi 9 janvier 2009
C'est l'hiver
L'HIVER EST BIEN LA !
Malgré le froid assez vif en forêt, j'ai pris mon appareil-photo et je vous livre quelques clichés !
Traces récentes, sources frileuse sous les berges refroidies,
la neige réveille notre instinct poète.
Il faisait moins quelques degrés et c'est avec regrets que j'ai quitté ce lieu
tranquille.
jeudi 1 janvier 2009
Bonne année à tous
A tous, des surprises, de la rigolade, des bons moments entre amis ou en famille,
a tous, du courage pour
affronter les difficultés de la vie,
surmonter l'insurmontable,
à tous, des larmes de joie,
du bon vin,
même si c'est autour de spaghettis,
quelqu'un avec qui parler, discuter, échanger,
et quand notre vie nous semble pénible
triste et injuste,
pensons que nous avons un toit, des moyens
pour manger et des blogs pour
être
LIBRES !
BONNE ANNEE !
a tous, du courage pour
affronter les difficultés de la vie,
surmonter l'insurmontable,
à tous, des larmes de joie,
du bon vin,
même si c'est autour de spaghettis,
quelqu'un avec qui parler, discuter, échanger,
et quand notre vie nous semble pénible
triste et injuste,
pensons que nous avons un toit, des moyens
pour manger et des blogs pour
être
LIBRES !
BONNE ANNEE !
Inscription à :
Articles (Atom)