samedi 17 octobre 2009

Nous ramassons des coquillages que nous mettons à notre oreille.
Entendons-nous des sirènes chanter ?
Les bateaux sont là prêts à nous emmener mais vers quels horizons ?
Nous écrivons des messages un peu partout mais comme ceux écrits sur le sable, qu'en reste-t' il ?
Ainsi passe le temps, jour après jour.
Sans cesse écrivons-
nous sur le sable, sans cesse crions-nous au bord de la mer mais le bruit de ses vagues anéantit notre espoir d'être entendu, la marée efface les mots.
Pourtant, nous espérons toujours que ces mots, ces cris soient entendus et ils le sont, car ceux qui les ont entendus les ont compris :
à leur façon !

Aucun commentaire: